Pour ces voeux de bonne année je formule ceci :
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Pour tous, ce sont des souhaits de vie sans paraître,
Pour une vie sur le sentier de l’Être,
Avec un soleil d’Amour,
Avec des nuages d’Affection
Une pluie de Tendresse;
Avec une Terre de Partage
Une Mer de Mains tendues
Pour le Don de Soi-Même à l’Autre ;
Avec un vent constant d’Ecoute
Pour la meilleure entente ;
Avec des Souffles vivifiants
Emplissant de Santé les Corps
A la recherche de l’Equilibre.
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Aidez-nous à créer
Comme des trous noirs pour évacuer toutes les violences,
Les renvoyer d’où elles viennent,
C’est à dire de notre côté sombre et obtus ;
En parallèle aussi pour plus de simplicité
Des Océans de Compréhension, Bleus,
Et de Conscience Pures et Blanches.
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Et pour Toi seulement, seulement pour Toi qui me lis et comprends,
En particulier je te dédie :
Des Rires et des Sourires ;
Quelques battements de Coeur,
De ceux qui transpirent tes Etats plutôt que tes désirs ;
Quelques Larmes d’Emotion…
A chaque fois que des Ouvertures d’Esprits
Comme jamais se réalisent alors que tout te semble pourri
Au royaume de de l’Illusion de Société,
Je veux te donner la force sûre
De dépasser l’adversité
Pour te réaliser enfin
Alors que tu commenceras à baisser les bras de l’Humain ;
Et tous les Mots d’Amour
Qui feront se rendre compte à Toi l’Être que tu es,
Aussi à l’Être qui t’écoute,
Que la Parole a été donné au Genre Humain,
Non pas pour la semer à tort et à travers
Des chemins d’inconscience manifeste et brouillonne,
Mais pour en faire un cadeau précieux
De tant et tant d’Utile et d’Evolution,
Seulement pour que soit respecter la Parole de celui qui l’émet.
Le Verbe est si précieux tant il génère d’Egrégores douteux !
Aux inconscients je dit qu’il faut qu’ils se taisent,
Qu’ils cessent les commérages…
Les mots confiés par la parole issue de la pensée
Se doivent d’être la Page Ultime de l’Expression de l’Être,
Non pas le brouillon de celui qui se cherche,
Ce brouillon doit se peindre en Shéma de Page Ultime
Dans l’Atelier du Coeur et de l’Âme naissante à Eux-mêmes…
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Bonne naissance à chacun d’entre nous…
Pour peu que nous soyons
Du genre à nous remettre en question…
Ne serait-ce qu’un peu,
Vous savez ce peu qui éclaire tant de visage
Ayant compris que la majuscule de l’Être
Réside en son minuscule Être intérieur…
Sa parcelle divine,
Sa parcelle immatérielle et créatrice.
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esotcelt